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Une base de données bibliographiques des thèses pour le travail socialTHESIS
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Les interventions assistées par l'animal : effet sur les composantes affectives, cognitives et comportementales de la qualité de vie chez les personnes âgées Alzheimer vivant en institution.

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Thèse travail social
H
Auteur : FORGET Sarah

Établissement de soutenance : Université de Tours, 2021
Pagination : 253 p.

Thème : Grand âge-Vieillissement
Mots-clés : Animal ; Vieillissement ; Établissement pour personnes âgées ; Maladie d'Alzheimer ; Bien-être ; Qualité de la vie ; Trouble du comportement ; Médiation ;

Discipline : Psychologie
Région de soutenance : Centre-Val de Loire
Directeur(s) : Pennequin, Valérie
Numéro national : 2021TOUR2031
Permalien Sudoc : https://www.sudoc.fr/267118074

Accès au texte intégral : http://www.theses.fr/2021TOUR2031/document

Résumé : L'objectif de cette thèse, en s'appuyant sur les modèles écologiques du vieillissement, est de contribuer à l'avancée des travaux scientifiques ayant trait aux effets des interventions assistées par l'animal (IAA) sur le bien-être et la qualité de vie des personnes âgées atteintes de la maladie d'Alzheimer à un stade modéré ou avancé, vivant en institution. Notre première étude, expérimentale, a permis de mettre en évidence un effet significatif des IAA, sur les capacités cognitives, les troubles psycho comportementaux, l'agitation/agressivité, la déambulation, et l'irritabilité/ instabilité de l'humeur, et le bien-être des personnes présentant une démence de type Alzheimer à un stade modéré ou avancé. Nous avons également fait la preuve que les séances d'IAA permettent de diminuer le retentissement des troubles sur les soignants. Notre deuxième étude, expérimentale, a permis d'apporter la preuve que la présence du chien augmente les interactions sociales entre les résidents mais également entre les résidents et les soignants dès la première séance. Notre troisième étude, s'appuyant sur des cas cliniques, démontre que l'animal en stimulant les capacités cognitives, motrices, affectives, en suscitant l'intérêt, et en motivant les personnes, peut diminuer ou faire disparaître les comportements autocentrés pour laisser apparaître des comportements tout à fait adaptés parfois rares chez les personnes Alzheimer à un stade avancé de la maladie. Enfin, dans notre quatrième étude, qualitative, nous nous sommes intéressés au regard que les soignants portent sur les IAA et avons repéré les freins et les leviers pour la mise en place d'une telle activité. Ainsi, il apparaît que l'animal, dans un contexte précis, avec un projet rigoureux et des personnes formées, permet d'augmenter le bien-être et la qualité de vie des personnes âgées même dans un contexte de fragilité qu'est la maladie d'Alzheimer.

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